1er sommet de la jeunesse béninoise : La Fondation Thierno Olory-Togbé a soutenu l’évènement

1er sommet de la jeunesse béninoise : La Fondation Thierno Olory-Togbé a soutenu l’évènement

Le premier sommet de jeunesse béninoise a eu lieu du 14 au 15 Avril 2025 au Palais des Congrès de Cotonou. Ce sommet qui a réuni plusieurs associations et regroupements de jeunes du Bénin autour des sujets de l’innovation de l’entrepreneuriat, de l’engagement citoyen, et bien d’autres sujets, a été fortement soutenu par la Fondation Thierno Olory-Togbé

Le Président de la Fondation Thierno Olory-Togbé a indiqu’au délà d’une simple participation, il a décidé d'accompagner ce sommet, de soutenir les initiateurs et le comité d'organisation pour que cette rencontre soit vraiment une réussite. Il a fait remarquer que le sommet a connu la participation des politiciens, des acteurs de la société civile, des plus jeunes, et surtout des jeunes leaders. Selon lui, à travers de telle rencontre, la jeunesse pourra tisser au bout des anciens et être vraiment présente dans l’échiquier politique , mais également dans l’échiquier socio-économique du Bénin. L’objectif poursuivi est de bâtir une vision qui va amener certainement vers l'horizon 2060.

Le Président de la Fondation Thierno Olory-Togbé a signalé qu’il a eu le privilège de participer au cours du sommet à un panel sur le panafricanisme. Selon lui, le panafricanisme doit être un élan vers la démocratie, un élan démocratique, c'est-à-dire que le panafricanisme doit s'intégrer à la démocratie et ne pas s'opposer à celle-ci. Il a cité l’exemple du Sénégal où il y a eu des leaders, des jeunes leaders comme Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, qui ont pu se mettre ensemble, aller dans une direction panafricaniste, mais également démocratique, pour accéder au pouvoir et faire en sorte que les idées du panafricanisme puissent vraiment être défendues, être commues au plus haut sommet de la gouvernance d'un État africain. Selon Maître Thierno Olory TOGBE, les effets tout à fait positifs de cette direction-là, doivent servir d’exemple dans d’autres pays africains. Il a également mis l’accent sur la nécessité qu’il y ait de moins en moins de frontières entre les peuples africains.

Selon lui, «le peuple africain doit pouvoir se construire en tant que peuple, doit pouvoir enlever beaucoup de frontières qu'il utilise. Et la route vers cet idéal, c'est la route digitale. En réalité, Internet nous offre l'opportunité de ne pas avoir de frontières entre nous.»

Signalons pour finir que Thierno Olory-Togbe est avocat au Barreau du Bénin. Il est président d'une fondation qui est dédiée à l'éducation et qui porte son nom. Il est également membre du Conseil national de l'autorité de régulation de l'électricité.

Rodolphe HOUEGBELO